La preuve définitive de l'utililité des sondages...
--> Le contraire de la science
Je suis comme tout le monde, je n'aime pas les sondages. Ils me gonflent. Figer la réalité dans des chiffres d'airain, s'abriter derrière eux pour faire du commentaire, c'est à la fois pauvre, artificiel et benêt. De la fausse intelligence, de la vraie bêtise, du pontifiant, pas du vivant. Un truc qui tue le journalisme et qui engraisse les sondeurs.
Ce n'est pas le sondage qui est le problème, c'est l'utilisation qu'on en fait. Un sondage ne doit jamais être présenté comme une prédiction, comme une vérité. Ce ne sont pas les chiffres qui sont importants, du moins pas les chiffres tels qu'on nous les donne. Non, ce qui est intéressant, ce sont les tendances, ce que les réponses, amassées puis agrégées, nous disent de nous-mêmes. Ce qui est important, c'est la capacité interprétative qu'il peut susciter, laquelle bien sûr se nourrit de la subjectivité de l'interprète, ce qui oblige donc à la prudence. Le sondage, c'est le contraire de la science. C'est donc très rigolo.
Lire l'ensemble de l'article de Jean-Michel APHATIE dans Agoravox, "le média citoyen"
Ce n'est pas le sondage qui est le problème, c'est l'utilisation qu'on en fait. Un sondage ne doit jamais être présenté comme une prédiction, comme une vérité. Ce ne sont pas les chiffres qui sont importants, du moins pas les chiffres tels qu'on nous les donne. Non, ce qui est intéressant, ce sont les tendances, ce que les réponses, amassées puis agrégées, nous disent de nous-mêmes. Ce qui est important, c'est la capacité interprétative qu'il peut susciter, laquelle bien sûr se nourrit de la subjectivité de l'interprète, ce qui oblige donc à la prudence. Le sondage, c'est le contraire de la science. C'est donc très rigolo.
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