Voile, une antique aliénation
--> C'est Saint Paul qui a commencé
«D'où vient donc cette histoire du voile ? D'une croyance sémitique très ancienne, qui considérait la chevelure comme le reflet de la toison pubienne ! Cette croyance était si répandue dans les pays d'Orient, notamment en Mésopotamie, qu'elle a fini par avoir force de loi. Aussi, le port du voile est-il rendu obligatoire dès le XIIe siècle avant J.-C. par le roi d'Assyrie, Teglat Phalazar 1er : «Les femmes mariées n'auront pas leur tête découverte. Les prostituées ne seront pas voilées.» C'était dix-sept siècles avant Mahomet et cela se passait en Assyrie, l'Irak d'aujourd'hui.»
Mohamed Kacimi, dans Libération du 10/12/2003, veut qu'on en finisse avec le voile : «Le voile est l'étoile jaune de la musulmane, et toute musulmane est une juive que chaque fondamentaliste rêve de déporter cinq fois par jour.»
«Enfin, que ferons-nous demain, nous, citoyens de culture musulmane ayant fui nos pays d'origine en raison de la dictature du religieux, de l'absence de démocratie, et qui avons choisi la France comme terre d'accueil ou comme patrie, que ferons-nous quand nos filles à l'école publique se feront traiter de putes et traîner dans les caves parce qu'elles n'auront pas porté le voile, et que nos garçons se feront traiter de mécréants car ils n'auront pas respecté le ramadan dans les cantines ? Ne pas céder sur l'affaire du voile, c'est rendre un immense service à l'islam, lui apprendre qu'il n'est pas la religion unique mais une parmi les autres et que la France ou l'Europe ne sont pas des terres de conquête mais des territoires de partage.»
Mohamed Kacimi, dans Libération du 10/12/2003, veut qu'on en finisse avec le voile : «Le voile est l'étoile jaune de la musulmane, et toute musulmane est une juive que chaque fondamentaliste rêve de déporter cinq fois par jour.»
«Enfin, que ferons-nous demain, nous, citoyens de culture musulmane ayant fui nos pays d'origine en raison de la dictature du religieux, de l'absence de démocratie, et qui avons choisi la France comme terre d'accueil ou comme patrie, que ferons-nous quand nos filles à l'école publique se feront traiter de putes et traîner dans les caves parce qu'elles n'auront pas porté le voile, et que nos garçons se feront traiter de mécréants car ils n'auront pas respecté le ramadan dans les cantines ? Ne pas céder sur l'affaire du voile, c'est rendre un immense service à l'islam, lui apprendre qu'il n'est pas la religion unique mais une parmi les autres et que la France ou l'Europe ne sont pas des terres de conquête mais des territoires de partage.»